"Le piège dans la fin d'une longue relation, c'est en vouloir autant tout de suite et se réengager auprès d'une autre personne pour un même temps sans vouloir se que l'on veut vraiment". Ricco
"Ah .... la recherche de l'homme parfait .... Mais mesdemoiselles, sachez qu'il n'existe pas (tout comme la femme parfaite) et heuresement. En effet j'aime à dire que la perfection est ennuyante....Bref tout ça pour dire qu'il ne faut pas vivre avec un rêve et s'adapter aux petits défaut des autres". Kid Paddle
"Je rejoinds un peu Dieu (Kid) dans ses dires, je n'ai jamais croisé d'homme parfait, mais je sais que lorsqu'une nana a tous ce qu'elle veut, elle n'est toujours pas satisfaite pour autant.
Il est tellement dur de vous séduire, car y arriver serait vous comprendre, or vous êtes tellement incompréhensible, que lorsque l'on tient le bon bout, nous nous sacrifions afin d'être cet homme parfait (enfin à vos yeux)". Ricco
"Et même si le désir physique est très important, il faut d'autres centres d'intéret commun, car je crois que l'activité sexuelle va en diminuant au fur et à mesure de la vie...". Eguemarine
"Le plus casse couille chez les femmes c'est leur eternelle indecision. C'est le "je sais pas propose", a ce moment tu te dis mais elle se fout de ma gueule, c'est elle qui me prend la tete pendant que je joue pepere, et elle a meme pas reflechis a une idée. La cause de tout ca: Cet eternelle envie qu on les femmes que le desir des hommes et des femmes doivent concordé a un moment donné sans le dire directement. C'est a mon avis une facon pour elle de se rassurer sur le fait que l homme en face d elle est leur homme idéal.(...) Pour résumé, je demande pas aux femmes de changer, mais de temps en temps, prennez des vrais decision et sachez vous y tenir". Innocent
...je suis prête à m'envoyer en l'air, du moins essayer!
Ben quoi? Je sais c'est la foire dans ma tête en ce moment, mais mes hormones, elles, vont bien!
Lorsque je suis anxieuse, inquiète il n' y a que deux choses pour me soulager: le sommeil ou une bonne prise à 4 pattes avec des va-et-vient fort (mmmh) et profonds (ooooh)!!! Comme je dors à peu près correctement, et que dans quelques jours, cela va faire une semaine que je n'ai pas eu droit à ma dose de sexe hebdomadaire...vous comprendrez n'est-ce pas, que l'appel de la chatte a été la plus forte ;-) !!!
Je prends ma couette, m'enroule dedans (c'est bizarre, j'ai du mal à m'adonner à mes plaisrs solitaires sans me couvrir...est-ce qu'une certaine gêne ou honte se cacherait sous cette acte?). C'est grave Mr Freud?
Il y a quelques semaines j'ai découvert un nouveau site. J' entends vos questions d'ici: "alors, alors c'est lequel"? Tout ce que je peux vous dire, c'est que j'ai trouvé mon bonheur, plein de big boobs (big on se comprend), grandes tetas, des plans à trois...bref, que du bon!
Rien qu'en parcourant vite fait le site, ma chatte devenait humide. Je commençais à sentir des petits "clapotements" dans le vagin...signe que je commençais à être bien...Je serrais alors encore plus les jambes...
En parcourant les diverses fenêtres, je tombe sur une scène avec un acteur américain que je commence à beaucoup apprécier, et ce parce qu'il sait comment "prendre une femme"; en tout il leur fait ce que j'aime!... Vous voulez savoir, hein? ;-). Je pense que vous devez commencer à connaître maintenant ;-) !!!
La fille était là, prise en sandwich entre deux hommes, bien montés (j'exagère, effet d'optique, je commençais à être chaude, donc dans ces moments là, il ne faut pas se fier à mes yeux, lol)! J'ai beaucoup "aimé" l'expression qu'il y avait sur son visage: ce un mélange de souffrance, de plaisir, d'envie et de fatigue!
Et là, je me suis imaginé à sa place!
Là, à quatre pattes, cheveux lachés, transpirante à moitié, à demie nue (la jupe relevée, soutien gorge juste baissé pour laisser échapper mes deux seins en forme de pomme), et me faisant besogner par ces deux hommes. Je suis...comblée de toute part: ma bouche pleine d'une queue et ma chatte en accueillant une autre!
Sentant le plaisir montée en moi (il faut dire que les gémissements de cette femme m'exitait beaucoup), je serrais encore plus mes jambes et faisais des petits va-et-vient secs...(à défaut d'avoir un gode ou une vrai queue...ben je me contentais de ça, ce n'était pas mauvais)!
De temps en temps on pouvait entendre "suck my dick, suck your big daddy's dick" MDR!!! Je vous l'accorde, comme dialogue il y a mieux; mais bon, on ne peut pas leur demander de savoir baiser et être de bons interpètes! Et moi, m'imaginant toujours à sa place, je voyais déjà le mec derrière moi me "forcer" à sucer celui d'en face en profondeur"...un régal!
Chacun y allait presque de toutes ses formes: celui de devant se servant de ma bouche comme d'une chatte, et celui qui avait ma chatte, se servait de celle-ci comme s'il s'agissait de ma bouche; il me la bouffait entièrement!
J' étais au bout, je sentais un léger spasme montée de plus en plus en moi. Je n' allais pas pouvoir tenir jusqu' à la fin de la séquence...mmmmmh!...Voilà, mes muscles des jambes se décontractèrent petit à petit, ceux des doigts se décrispèrent...J' avais le visage chaud!
Cette sensation de ...de...comment dire? Cette sensation de ...je dirai "frisson", je ne trouve pas d'autres mots...en tout cas, cela donne l'impression que quelque chose sortait de moi et me laissait toute sereine...
Une fois cette état de "semi transe" passé, je regardais les dernières scènes sous un angles différent Je n'avais plus envi d'être à sa place, je n'avais même plus envie de continuer à parcourir le site...
C'est bizarre, cette fois-ci, je ne me suis pas sentie "apaisée'' comme d'habitude. J'étais bien mais sans plus...Si mes sensations se mettent à me lâcher, il ne me reste plus qu'à me faire bonne soeur!
C'est peut-être parce que je stress pour cette après midi?
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J ai du manqué un episode, il se passe quoi cette apres midi?
MDR!!! alors comme ça je me masturbe comme un homme?
C'est parce je n'aime pas m'enfoncer des carrottes et autres objets, et comme j'ai des ongles ça me fera plus de mal que de bien... ;-)
Cette après midi, je vois mon ex; on ne s'est pas retrouver depuis que je suis partie. Quand je retournais à l'appart, je veillais à ce qu'il n'y soit pas...et en dehors des "tu as du courrier, fulanito t'as appellé...ben les discutions ne volaient pas très haut!
Tu me tues de bon matin, comme je vais faire maintenant...
tu n'as pas remarqué que je suis très portée sur les animaux...il y en a pas mal dans mes "images du jour"...
Bon , après une bonne douche, je reviens vers vous plus serain juste pour dire :
"Tornade, n'oublies pas qu'il y a toujours cette proposition en suspend avec Kid"
Voilà... :P
Totor >>>Oui Oui OUi la propsition tiens tjs ac Ricco ;-)
Biz Aff
une semaine, c'est une éternité.
je pourrai pas tenir aussi longtemps...
L'homme est faible
"une éternité"? m'en parle parle...si vous permettez l'expression les enfants "j'ai la chatte en feu" lol !!!
Il paraît que vous les hommes ne pouvez pas tenir plus de 3 mois sans faire l'amour. Info ou intox? Il se peut que vous n'en sachiez rien non plus...étant donné que ce problème ne vous concerne pas...encore, hi hi !!!
Mais je l'ai ta photo en bonne soeur...
je pense que mème si le plaisir solitaire ,aidé ou non par des images,apporte un apaisement et constitue un bon somnifère, le faire à deux (ou plus!)apporte une autre dimension dans le plaisir
epicure
Kuku Epicure et soit le bienvenu!
Il n' y a pas foto, comme je dis "rien ne saurait remplacer une bonne bite bien placé"!
Aaaaaamen!!!
je te l'envoie par contre si tu veux tu peux la publier...
et celle de ce matin ?
tu peux laisser tes réponses sur mon blog...
FXFest devenu Lord X, histoire de consonnes.
Drriing!
Oui, qui est là?
Je peux résister à tout, sauf à la tentation, disait ce cher Oscar.
Des preuves, en textes et images, lordx.canalblog.com
Et toi, chère Tornade, s'il t'arrivait un jour d'être lasse de baisouiller, je serais ravi de te... tornader.
salut Lord X et bienvenu!
"chère Tornade, s'il t'arrivait un jour d'être lasse de baisouiller, je serais ravi de te... tornader" merci à toi et à ta verge pour cette proposition, mais je suis déjà sur un plan à 3 avec Rik et Kid ;-) !!!
je viens de decouvrir ton blog et whahooooo je suis devenu accro tout a coup. C est vraiment genial une femme qui se livre sans complexe pudeur ou tabou!!!! bref j adore et ce dernier post m a fait craquer: tu aurais aime etre a la place de la fille moi j aurais aime etre le mec, mais bon j ose espere avoir un peu plus de dialogue que lui mdrrr
alle bises et a bientot
kuku Pooo et bienvenu!
Ravie sincèrement (je dis tt le tps la même chose, mais c'est vrai, je le pense) que le ton du blog te plaise!
Mais je ne t'apprends rien en te disant que beaucoup de filles sont comme ça, tout ce qu'il nous faut pour nous lacher, c'est un environnnement favorable.
Ma Nymphe>>> Ok pour le faire lors de ton Anniv ??? Mais on peut regrouper le mien ac le tiens car le mien arrive à gd pas.
Biz aff ma Nymphe
MDR, MDR!!!
Et pourquoi regrouper nos "non-anniversaires" aussi? lol !!!
Ola bella !!!
Masturbation féminine, hummmmm, mais attention à tes biceps, lolll. Mais dis moi, c'est Tornado qu'il te faut, bien monté et toujours frais et dispo !!!! Grrrr
Bixxxxxxxxxxxxxxx
MDR !!!
Tu viens de me donner une idée, le jour où j'aurai un vibro, je l'appellerai Tornado the Great!!!
Ma chere, c'est avec grand plaisir que je t'offrirai ce cadeau pour ton anniversaire à venir...
MDR, MDR!!!
oulala, vivement mon anniv!!! ;-)
CouCou tornade !;-)
je lis ton blog depuis quelque temps et je le trouve vraiment sincere et vrai. En lisant tes derniers ecris je me dis , t es vraiment une cokine !! LoL!! De toute facon tu assume totale et ca c est Le mieux. Puis je te comprend , ma philosophie de la vie c est "carpediem" , cuille le jour qui vient... Continue tiBout de femme , vis ce que tu as a vivre , bise !!!
Julien de Rouen
Kuku Fleur du Mal et sois le bienvenu!
ravie que le blog te plaise; comme je le dis dans le texte de présentation, j'essais d'être la plus sincère, vrai et juste possible (pour une fois).
et oui, Tornade est un peu coquine, je l'avoue ;-)
Pas la peine qu’elle me dise de la regarder pour que je le fasse. Allongée sur le ventre, elle m’offre son cou, son dos, ses hanches, ses jambes. Pas la peine de prendre une photo pour graver cette image dans ma mémoire vive. Elle est belle dans le repos comme dans l’amour. Son repos, c’est du Mozart. Après l’amour, don repos, c’est encore de l’amour. Je viens m’allonger sur elle, pour l’embrasser dans le cou, en essayant de ne pas l’écraser. Ce serait dommage. J’ai l’impression qu’il y a un siècle ou deux que je n’ai pas fait de pompes ... Mes bras en tremblent. Mais tremblent-ils d’effort ou d’émotion ? J’embrasse ce cou délicat, et puis je remarque les épaules. J’embrasse les épaules, et puis je remarque les omoplates. J’embrasse les omoplates, alors je remarque le chemin de la colonne vertébrale, que j’emprunte à son tour. Et je le suis. Mais où va-t-il m’emmener ? En explorateur consciencieux, j’observe chaque millimètre de ce chemin. Afin de ramener de mon voyage des impressions précises, je le goûte. J’embrasse à droite, je mordille à gauche. C’est bon, un peu sucré. La terre est tendre ici. Soudain, une côte. Je dois abandonner ce sentier qui disparaît au pied d’une colline. Aïe, il va falloir grimper. Je ne suis pas un bon marcheur, mais la pente me semble douce. Comme j’ai un peu mal aux pieds, au pied gauche surtout, je décide qu’à leur place, ce sont mes lèvres qui vont s’attaquer à ce raidillon. J’avais raison, la pente est douce, c’est bien le mot qui convient. Ma bouche la suit sans difficulté, même si elle est parfois obligée de demander un coup de main à ma langue, et même si ma langue est parfois obligée de demander un coup de pouce à mes mains. Et soudain, encore une côte. J’aperçois bientôt une deuxième colline. Je réalise qu’il n’y a pas une colline, mais deux, parfaitement identiques, et séparées par un délicat sillon, un chemin creux ombragé qui donne envie de s’y promener, de s’y égarer. Le soleil a tapé si fort, ces dernières heures, un peu d’ombre me fera le plus grand bien. Je dévale la pente douce, en me promettant d’y revenir, car je n’ai pas tout vu. Damned, le sentier est trop étroit pour ma bouche. Je vais être obligé de laisser ma langue, plus agile, partir seule en éclaireur. Je ne suis pas très rassuré, elle n’a pas l’habitude, et pour tout dire, je crois bien qu’elle ne s’est jamais aventurée seule sur ce genre de sentier. Pourtant, elle a l’air à son aise. Elle disparaît dans la pénombre, commence à s’y faufiler. Et brusquement, alors que rien ne le laissait prévoir, un tremblement de terre. Sous le choc, les deux collines se soulèvent avant de retomber, mais plus loin l’une de l’autre qu’auparavant, plus écartées. A la place de l’étroit sentier qui s’est ouvert, une faille. Je prends note de ce phénomène, causé sans doute par le réchauffement climatique. Curieusement, bien qu’à son épicentre, ma langue ne semble pas avoir souffert du séisme. Ouf. Bien au contraire, elle dispose maintenant d’un espace de jeu plus confortable. Elle poursuit donc son bonhomme de chemin. Soudain, un cratère. Etrange région, quand même … Elle se glisse prudemment jusqu’au bord du gouffre, quand la terre entière se met à trembler. Les répliques … phénomène bien connu. La région ne serait-elle pas sûre ? Comment le savoir ? Il faudrait que je sache s’il est très prudent d’aller plus loin. Mais qui pourrait me le dire ?
Qui … je te le demande …
Nouveau signe du réchauffement climatique, la terre se soulève lentement, comme aspirée vers le haut. Mais qu’est-ce que c’est que ce pays ? Et qu’est-ce qui peut bien l’aspirer comme ça ? Les deux collines sont maintenant comme suspendues dans le vide, en apesanteur. Le cratère se retrouve à la verticale. Ma langue est obligée de se cramponner pour tenir bon. Soudain, deux mains qui me semblent appartenir à une autochtone apparaissent sur les flancs de chaque colline, et tentent de les attirer vers l’extérieur, comme pour les écarter l’une de l’autre. La nature a de bien curieuses façons, par ici. Mais qu’elle est belle. Sous l’effet de cette traction, le cratère s’élargit et se dessine distinctement.
- Lèche-moi. Oh oui, mon amour … lèche-moi partout … j’ai bien dit partout … ne te gêne surtout pas … j’adore ça.
J’étais déjà tendu comme un arc, et voilà que j’entends des voix … ça se confirme, je suis Jeanne d’Arc. L’effet de la forte chaleur sans doute. Quelle chaleur ! A moins qu’il ne s’agisse d’un message divin ? Oui, c’est ça, un message, divin, assurément, absolument divin.
Ma langue tâte un peu le terrain. Les bords du cratère sont constellés de multiples petits sillons concentriques, qu’elle entreprend de visiter un par un, méthodiquement. Maintenant, toute la terre ondule délicatement, comme pour tourner autour de cette langue, comme pour l’inviter à entrer dans ce cratère, et comme pour lui en faciliter l’accès. Alors elle se contracte, se fait plus fine et plus dure, et tout doucement, elle se glisse avec délice dans les profondeurs de la terre, qui se met à bouger de plus en plus, à trembler de partout. Oh la … tout doux … je vais lâcher prise. Pour m’assurer du contraire, mes mains viennent prendre sur les collines la place de celles de la mystérieuse autochtone, qui se sont retirées. En se retirant, l’une d’elles a fait le tour de la colline, et se balade sur le versant sud. Je la sens, je la devine qui s’approche. Les doigts viennent jusqu’à ma langue, pour la toucher, pour apprécier l’avancement de ses travaux de fouille. Puis la main glisse, malencontreusement bien entendu … sans doute … peut-être, vers un haut plateau situé au sud du cratère où ma langue se perd, un ancien massif montagneux appelé je crois le périnée oriental. Elle poursuit sa route. Je m’écarte un peu, pour la suivre un moment du regard. En me reculant, je libère le cratère qui se rétracte d’un coup, ce qui a pour effet de faire gémir la terre. Je n’ai pas une grande expérience de l’exploration, c’est vrai, mais jamais, ô grand jamais je n’avais entendu gémir la terre. Où suis-je donc ? Je n’en sais plus rien, je suis sur une planète inconnue, je suis ailleurs, c’est tout, et depuis un bon moment déjà, je dois l’avouer. Je regarde la main glisser lentement sur ce merveilleux paysage, fasciné par sa souplesse et sa dextérité. Elle semble connaître parfaitement l’endroit, tandis que me prend à nouveau l’envie de savourer l’envers. Elle aborde alors un second cratère, plus vaste, bordé de végétation. Une oasis … Décidément, la région est pleine de surprises… Les doigts survolent cette oasis et vont s’installer autour d’un petit monticule, une sorte de dune minuscule, sans doute de sable fin, sans doute le plus fin qu’il se puisse trouver. J’en ai déjà entendu parler. On l’appelle, si j’ai bonne mémoire, le pli torride. Et là, voici les doigts qui se mettent à jouer. Ils touchent, effleurent, massent, frottent, appuient, frôlent, caressent, et ils tournent, et ils tournent… Et plus ils tournent, plus la terre tremble. Je prends note de ce phénomène étrange causé sans doute par … par quoi, si je savais … quand soudain, deux d’entre eux, échappant à toute surveillance, redescendent de leur petit perchoir, reviennent vers l’oasis, là où elle est la plus large, et y disparaissent d’un seul coup. Quel piège les a emportés ? Des sables mouvants ? De l’eau ? J’ai peur que les doigts n’aient pas pied, puisque ce ne sont pas des doigts de pied. Mais que faire ? D’où je suis, je ne peux rien tenter pour les sauver, il m’est impossible d’intervenir, et je le dis tout net, et tant pis si ce n’est pas très glorieux, mais je n’ai pas du tout envie d’intervenir. Alors j’assiste au drame impuissant, même si mon petit doigt me dit que le terme n’est pas bien choisi. Je contemple en spectateur la fin atroce de ces doigts, noyés, ici, sous mes yeux, dans ce coin perdu du monde, mais pas pour tout le monde. Les pauvres. Mais non … ils bougent encore. Brusquement, je les vois réapparaître, tout mouillés. De l’eau donc … je comprends mieux. Et j’avoue qu’ils ont rudement bien fait. Par ces chaleurs de fournaise, un petit bain ne peut pas faire de mal. Et puis ils plongent à nouveau. Un petit bain … les veinards. Après avroir fait plusieurs apparitions et disparitions, ils décident de se sécher au vent du mon haleine, et dressent maintenant au-dessus de l’oasis, luisants au soleil. Ils me regardent et semblent m’appeler au secours. Quelque chose ne va pas … vite. N’écoutant que mon courage, j’ordonne à ma bouche de les envelopper, pour les réchauffer et les protéger. Je n’en reviens pas : ils ne sont pas froids, bien au contraire, et ils ont le parfum des fleurs sauvages de la contrée, mais surtout, surtout, ils ont tellement bon goût … Alors n’écoutant que mon plaisir, je les lèche et les suce longuement, je les savoure avec délectation. Quand on peut faire une bonne action, et se faire plaisir en même temps, pourquoi s’en priver ? Pour étancher ma soif, je les invite à recommencer l’opération, autant de fois qu’ils le voudront. Ils acceptent. J’en suis heureux.
C’est vrai, quoi … fait tellement chaud.
Mail : planeteperso@yahoo.fr
Kuku!!!
Je viens d'enfin terminer de lire tes lignes!
Tout d'abord merci beaucoup d'avoir pris le temps de taper ce texte. j'aime beaucoup, on se demande "est-ce vrai ou non" "parle-t-il d'une femme ou d'une simple végétation?
Une chose est sûre, c'est que ça fait quand même de l'effet...du moins mon imagination travaille.
Merci pour le mail, je t'écris dans la semaine.
Bzzz!!!
Planète perso> kuku et bienvenu, je n\\\'ai pas encore lu mais WAHOUUUUUUUUU!!!!
Now je vais lire ;-)
Puis l'écran. Ce qui nous semblait être une fenêtre ouverte sur toi, ton univers, tes charmes, tes sens, devient un obstacle face à ce nouveau ressenti. L'envie de nous lever de notre siège pour déposer quelques baisers coquins sur ton corps dévoilé de tes mots est forte... Trop pour se contenter de rencontrer en chemin un froid écran de verre. Frustrant...
Personnellement mon émoi me donne des idées et soit certaine que je vais guetter la place de la Bastille et ses alentours avec un autre regard qu'à l'accoutumée, espérant te croiser pour mieux te découvrir... A une prochaine en direct, peut-être...
MDR!!! Le flatteur ;-)
" Avec cet extrait délicieux nous voici à ta portée, pour ne pas dire à ta merci. Pourtant c'est toi qui t'offre... J'adore cette sensation agréable de déséquilibre, où tout semble pouvoir basculer." Je trouve que cette phrase résume bien la situation!
Je pense que ce déséquilibre est dû au fait qu'au fond, nous avons les mêmes fantasmes (je fais allusion à ma petite scène) et forcément lorsque l'on tombe sur une de nos envies dévoilées, ça titille nos sens, n'est-ce pas? ;-)
" L'envie de nous lever de notre siège pour déposer quelques baisers coquins sur ton corps dévoilé de tes mots est forte ", là c'est moi qui suis ou serait éventuellement à ta mercie ;-)
" je vais guetter la place de la Bastille et ses alentours avec un autre regard qu'à l'accoutumée, espérant te croiser pour mieux te découvrir", je te donne un indice, "cocktails" ;-)
Très mignon ton com, et comme d'habitude dans ce genre de situation je deviens muette, lol!
Kuku!!!
j'ai découvert qu'elles étaient de belles coquines, regarde l'image du jour du 5 mai, tu comprendras mieux ;-)
Bzzz!!!
Lol, ben je ne sais pas, lol! Pourtant le titre est super explicite ;-)
Je veux bien qu'on continue à s'écrire, mais il faudrait aussi que tu me réponde, n'est-ce pas? ;-)
Bzzz!!!
j'attends impatiemment de te lire sur mon blog ou aileurs :)
Ben non, je n'ai pas reçu de mail de ta part....
Je te réecris pour que tu aies mon mail, oki?
Bzzz!!!